«Pour un changement, il faut un partenaire, pas un fournisseur».

Retour chez Pistor

L’histoire commence par une situation de départ difficile. «Nous n’étions pas satisfaits de nos processus», explique Christian Böck. Martha Brotzer précise: «Nous avions déjà travaillé avec Pistor auparavant, mais le partenariat avait été suspendu. Mais plus tard, l’opportunité de réengager Pistor s’est présentée». L’offre était convaincante: «Les avantages d’un groupement d’achat et du grand assortiment de produits adaptés aux homes/EMS et aux hôpitaux nous ont plu, de même que les conditions et les livraisons d’une seule source avec le camion à trois zones – et en particulier les possibilités dans le domaine de la numérisation», précise Christian Böck.

Le groupe Kliniken Valens souhaitait un partenaire personnel, fiable, capable d’être critique et tolérant envers les autres fournisseurs, raconte mon hôte. «Cela fait 30 ans que je suis dans le métier et j’ai vu de tout. Je ne regarde pas uniquement le prix», dit Christian Böck. «Avec Pistor, je sais ce que j’ai. L’entreprise a investi beaucoup de temps dans notre projet; c’est du donnant-donnant. Ils sont toujours ouverts aux questions, aux idées et aux critiques et on peut se fier aux accords conclus et on n’a pas toujours besoin de discuter.»

EDI: une minute au lieu de 3 à 4 heures

Avant l’arrivée du projet de numérisation avec Pistor, les processus de commande au sein du groupe Kliniken Valens étaient hautement fastidieux. «Préparer une commande prenait 3 à 4 heures – nous devions chercher des articles, copier des papiers à la main, documenter les processus de commande par écrit et et et», rapporte Christian Böck. Dans les entrepôts du centre de rééducation, nous examinons l’infrastructure actuelle. Sur les produits et les étagères sont collées des étiquettes avec des codes que Pistor a mis à disposition. Martha Brotzer montre comment elle procède avec le système de commande EDI: «Je vérifie le stock et si quelque chose doit être recommandé, je scanne le code correspondant et je peux directement déclencher la commande. Cela prend à peine une minute.»

Nous visitons la réception des marchandises et le chemin vers la cuisine, que les produits commandés empruntent tous les jeudis. Les locaux ne sont par endroits pas faciles à traverser pour les fournisseurs avec des marchandises – toutefois, les chauffeurs de Pistor prennent sur eux à chaque fois pour prendre ce chemin et font du bon travail, estime Christian Böck. Dans la cuisine, beaucoup de choses sont faites maison et fraîchement préparées. Comme dans de nombreux endroits, on ressent en ce moment à Valens le manque de main d’œuvre qualifiée. «Nous sommes heureux de pouvoir encore bien prendre soin de nos 150 patients en cette période. De nos jours, on n’a tout simplement plus le personnel nécessaire pour beaucoup de choses, et les quantités et les exigences augmentent – la numérisation est de ce fait un facteur d’économie et de simplification extrêmement précieux.»

Plus vite, plus haut, plus loin

Pour finir, nous nous trouvons dans la salle à manger, où les premiers patientes et patients arrivent pour dîner. Ils présentent des états de santé les plus divers et ont par conséquent des besoins très différents en ce qui concerne l’alimentation: certains souffrent de dysphagie et ont besoin d’une alimentation en purée, d’autres ont des intolérances ou des régimes particuliers, d’autres encore ne prennent qu’une demi-portion. Des dispositions ont déjà été prises pour que les patients puissent à l’avenir passer des commandes numériques à l’aide de tablettes. Et ce ne sont pas les seuls projets d’avenir du groupe Kliniken Valens: «Nous voulons, par exemple, aussi introduire un plan de menu numérique, à partir duquel il serait possible de commander directement les ingrédients requis pour les menus», déclare Christian Böck avec enthousiasme. «Dans le shop de Pistor, il serait également possible de filtrer, par exemple, des allergènes ou des poissons avec peu d’arêtes.»

Ce qui fait chaud au cœur, c’est non seulement le panorama montagnard à couper le souffle que l’on voit de tous les côtés à travers les fenêtres, mais encore l’enthousiasme de mes hôtes pour leur travail. «Certains patients arrivent ici et ne peuvent pas parler, ont de la peine bouger, arrivent à peine à manger. Alors, quand ils nous quittent et peuvent à nouveau parler, manger, être à nouveau plus autonomes, c’est formidable.» Et chez Pistor, on est manifestement aussi enthousiaste: «Nous aimerions bien pouvoir venir voir la logistique à Rothenburg», révèle Martha Brotzer. «Un si grand centre de transbordement de marchandises doit être impressionnant.» Christian Böck souligne encore une fois la relation particulière: «Pour qu’un changement puisse se produire, tu as besoin d’un partenaire, pas d’un fournisseur. Pistor a toujours été pour nous un partenaire digne de confiance, dynamique et fiable.»

A la fin, je les remercie chaleureusement de m’avoir fait découvrir ce centre de rééducation innovant et je me remets en route. Pistor est fière d’avoir participé à ce projet et se réjouit de continuer à soutenir le groupe Kliniken Valens, par ses conseils et son action, sur la voie de l’avenir!